Partant du principe que les disparités de salaire sont pléthore, quelles sont le lit de frustrations, que les tâches les plus dures sont souvent aussi le lieu de disqualification salariale, et que, les longs cursus formatifs, notamment universitaires, sont d’abord un plaisir, ensuite un luxe et pour finir, qu'elles ont un coût assumé collectivement, il sied de normé les niveaux de rétribution de manière à ce que le plus haut salaire au sein d'une même entreprise quelle qu'elle soit, ne soit pas plus de 50% plus élevée que le plus bas salaire, au pro rata, bien évidement, des temps quelle occupe.
Par exemple, le directeur d'une entreprise, présent à 100 % ne serait payé, au pire, que 50% de plus que le concierge, présent au même taux, qui nettoie et veille à ce que l'outil de travail soit efficient.
Dès lors, soit l'on augmente les bas salaires, soit l'on ampute les hauts salaires, soit l'on pèse sur les deux.
Une batterie de coefficient pourrait affiner l'occurrence, si elles se justifient. Par exemple: travaux dangereux, nocturnes, jours fériées ou week-end. Mais en aucune manière par corps de travail. Sachant que l'on y est contraint, et pour un temps prolongé, il est , au même titre que l'impôt, nécessaire que l'aspect solidaire, et collectif soit présent au travail.